Ferrari 512 TR (1992–1994) : Vivre avec une capsule temporelle à 12 cylindres, ainsi que les petits accessoires qui la rendent spéciale
J'ai eu l'occasion de conduire quelques fois la Ferrari 512 TR au fil des ans—une fois par une fraîche matinée près de Modène, une autre sur des routes californiennes ensoleillées où le bitume ondule comme un vinyle. Dans les deux cas, la voiture se révélait merveilleusement mécanique, à l'opposé des supercars modernes. Le flat-12 se met à rugir avec un grésillement métallique, le déclic de la boite de vitesses est addictif, et lorsque l'on en accélère, la lignée Testarossa ne chuchote pas, elle chante. C’est un GT de luxe avec du caractère, et oui, c’est toujours une Ferrari Testarossa dans l’âme.

Ferrari 512 TR : Que signifie vraiment le nom
Le « 512 » fait référence au moteur de 5,0 litres et 12 cylindres ; le « TR » représente Testarossa. Sous les stries dramatiques et la silhouette en coin, la Ferrari 512 TR est l’évolution de l'icône des années 1980 de Ferrari—ramenée au goût du jour, resserrée, et manifestement plus réactive. Lorsque je suis monté à bord pour la première fois, je m'attendais à un musée roulant. Au lieu de cela, j'ai ressenti une classique aiguisée qui aspire toujours à être conduite.
Train de transmission et performance : Le Flat-12 qui définit la voiture
La Ferrari 512 TR de 1992 est propulsée par un flat-12 de 4,9 litres développant environ 428 ch et environ 362 lb-ft de couple. Les chiffres de l'époque indiquent un 0 à 60 mph en environ 4,8 secondes et une vitesse de pointe juste en dessous de 195 mph. Au-delà des chiffres, l'expérience est le véritable sujet. Au-dessus de 4 000 tr/min, le moteur se met à rugir ; en dessous, il est assez doux pour traverser la ville sans broncher—en dehors de l'embrayage lourd, qui équivaut à une séance de musculation dans les bouchons.
- Moteur : flat-12 de 4,9L (monté au milieu)
- Puissance : ~428 ch, ~362 lb-ft
- 0–60 mph : ~4,8 secondes
- Vitesse maximale : ~195 mph
Impressions de conduite : Un théâtre analogique
La direction est lourde à vitesse de parking, puis se réveille magnifiquement une fois en mouvement. Sur des routes accidentées, j'ai remarqué que le châssis communique—honnêtement. Ni brusque, ni flottant ; c'est plutôt comme une bonne conversation. La boîte manuelle à cinq vitesses est toujours l'une des meilleures interactions tactiles que vous puissiez avoir avec une voiture. Talon-pointe ? Elle vous récompense à chaque fois. L'habitacle vous place bas et large, et même si la visibilité n’est pas exactement celle d’un monospace, elle est meilleure que ce que le style en coin pourrait laisser croire. La climatisation, elle, est... des années 90. Elle fonctionne, mais ne vous attendez pas à des rafales arctiques par une chaude journée à 100 degrés.
Marché : Quelle est la valeur d'une Ferrari 512 TR aujourd'hui ?
La Ferrari 512 TR se situe dans cette zone idéale d’un classique utilisable et d’un objet de collection de premier ordre. L'état, l'historique de service (les gros entretiens de courroies sont non négociables) et l'originalité influencent les prix. Dernièrement, les voitures bien entretenues se vendent souvent entre 200 000 $ et 300 000 $, tandis que celles d'exception avec peu de kilomètres peuvent atteindre plus de 400 000 $. Honnêtement, je n'étais pas sûr que le marché continuerait à apprécier ces voitures des années 90, mais la combinaison de la conduite et de la rareté maintient une demande saine.
Combien de Ferrari 512 TR ont été fabriquées ?
La production a eu lieu de 1992 à 1994, avec environ 2 280 unités fabriquées (certaines sources parlent d'environ 2 261—l'histoire de Ferrari peut être légèrement floue sur les chiffres). Quoi qu'il en soit, la rareté fait partie de son charme. La survie des modèles est forte car les propriétaires ont tendance à les bichonner ; vous pouvez encore voir des exemples impeccables lors de concours, et—heureusement—lors de rencontres occasionnelles le samedi matin où elles sont réellement conduites.
- Années de production : 1992–1994
- Construit : environ 2 280 unités (certains rapports citent ~2 261)
- Statut de collectionneur : intérêt croissant, surtout pour les voitures originales et bien documentées
Design et habitacle : Le style des années 90, avec une réelle praticité
Le 512 TR modernise le look de la Testarossa avec des surfaces plus serrées et des détails plus nets. À l'intérieur, la position de conduite convient à une posture bas et large, parfaite pour une balade nocturne le long de la côte. La commande est délicieusement analogique, et oui, un peu originale. La radio est placée là où Ferrari a décidé qu'elle devait être, pas là où le bon sens ergonomique la mettrait. Assez silencieuse pour entendre vos enfants se disputer à l'arrière ? Eh bien, il n'y a pas de place à l'arrière. Mais c'est calme à l’accélération, et le bourdonnement du flat-12 transforme les longs trajets en événements.
Saviez-vous que ?
Les révisions du compartiment moteur du 512 TR ont amélioré le refroidissement et l’efficacité d'admission par rapport à la Testarossa d'origine, contribuant à la fois à la performance et à la fiabilité. Ce n'était pas qu'un lifting esthétique ; c'était une mise à jour mécanique significative.
Ferrari 512 TR vs. ses rivaux de l'époque
| Voiture | Moteur | Puissance | 0–60 mph | Vitesse maximale | Caractère |
|---|---|---|---|---|---|
| Ferrari 512 TR (1992–1994) | Flat-12 de 4,9L | ~428 ch | ~4,8 s | ~195 mph | Théâtre analogique, boîte de vitesses à goupille, élégance GT |
| Lamborghini Diablo (début des années 90) | V12 de 5,7L | ~485 ch | ~4,5 s | ~202 mph | Plus sauvage, commandes plus lourdes, plus de drame |
| Porsche 911 Turbo 964 | Flat-6 turbo de 3,3L | ~320 ch | ~4,7–5,0 s | ~174 mph | Compact, suralimentation explosive, utilisable au quotidien |
| Acura NSX (début des années 90) | V6 de 3,0L | ~270 ch | ~5,5–5,9 s | ~168 mph | Civilité de supercar, précision facile |
Accessoires importants : Tapis de sol et préservation de votre 512 TR
On pourrait penser que c'est trivial jusqu'à ce que vous en possédiez une. Les bons tapis de sol protègent les moquettes originales et l'emplacement de la pédale—zones sensibles à l'usure du talon—et ils unifient visuellement l'habitacle. Dans une voiture où l'originalité est primordiale, des accessoires malins sont la meilleure assurance que vous puissiez obtenir. J'ai vu quelques voitures survivantes dont la seule vraie imperfection était un tapis usé sous l'accélérateur. Douleur.
C’est là que les tapis sur mesure entrent en jeu. Sur AutoWin, vous trouverez une gamme dédiée conçue spécifiquement pour la Ferrari 512 TR—matériaux, bordures, et ajustements qui semblent d'époque et maintiennent les tapis d'entrée en bon état pour les expositions ou les balades dominicales pleines d'entrain.
- Protège la moquette d'origine (et la valeur de revente)
- Préserve l'usure du talon près des pédales
- Ajusté pour la forme de plancher unique du 512 TR
- Achève l'habitacle avec le bon look et la bonne sensation
Conseil d'achat :
Si vous êtes sur le marché pour une 512 TR, vérifiez la moquette de la boîte de pédale et la zone du tapis conducteur pour l'usure. Des tapis neufs, spécifiques au modèle, sont un bon indicateur de l’attention que le propriétaire a portée à la voiture.
AutoWin e‑shop : Une source fiable pour les accessoires de la Ferrari 512 TR
Vous souhaitez rajeunir ou rehausser subtilement l'habitacle de votre Ferrari 512 TR ? Le catalogue AutoWin se concentre sur l'ajustement et la finition—pas de conjectures, pas de découpes, juste une protection prête à l’emploi qui s’agitent parfaitement avec la stature de la voiture.
Pensées finales : Pourquoi la Ferrari 512 TR continue de vous séduire
La Ferrari 512 TR n'est pas qu'un artefact d'une époque analogique—c'est une conduite réellement gratifiante aujourd'hui. Suffisamment rapide pour tenir tête à la circulation moderne, tactile pour rendre chaque mile spécial, et assez rare pour en faire une occasion. Gardez-la entretenue, protégez les détails (oui, y compris les tapis), et elle vous le rendra à chaque fois que vous tournerez la clé.
Ferrari 512 TR : FAQ rapide
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La Ferrari 512 TR est-elle une Testarossa ?
Oui. La 512 TR est une évolution de la Testarossa, avec des mises à jour mécaniques et stylistiques significatives. -
Combien de puissance produit une 512 TR ?
Environ 428 ch et environ 362 lb-ft d'un flat-12 de 4,9L. -
Combien de Ferrari 512 TR ont été fabriquées ?
Environ 2 280 (certaines sources indiquent environ 2 261) de 1992 à 1994. -
Quelle est une fourchette de prix juste aujourd'hui ?
Entre 200 000 $ et bien au-delà de 400 000 $ pour des voitures exceptionnelles avec peu de kilomètres. -
Quels accessoires en valent la peine ?
Des tapis de sol spécifiques au modèle pour préserver la moquette d'origine, ainsi que des services réguliers de courroies et des pneus adéquats pour maintenir une conduite agréable.











